26 juin 2011

L'Aiguille du Midi

Le plus difficile, c'est certainement de trouver la bonne fenêtre météo. Je croyais l'avoir trouvée : le bulletin météo que je surveillais depuis quelques jours, annonçait "grand beau" pour ce jour-là
C'était sans compter sur les caprices du Mont-Blanc qui, "ce jour-là" justement, avait décidé de rester derrière sa couverture de nuage ; légère la couverture, à peine un voile, mais quand même, on ne l'a pas vu ce fichu Mont-Blanc.

Et bien, tant pis pour lui, parce que l'ascension jusqu'à l'Aiguille ... - non, pas à pied, en téléphérique bien sûr ! - fournit déjà son lot d'émotions et de sensations.
Ooooops, le passage des pylônes (surtout à la descente ! ) ......
Aaaaaarrrgh, les derniers mètres au ralenti et à la verticale, juste avant l'arrivée du deuxième tronçon ....
Wouaaaahhh, les glaciers, les pics rocheux, l'abîme sous nos pieds....
3842 mètres, le coeur s'emballe, le souffle se raréfie, la tête tourne un peu. L'altitude ? Sans doute. La beauté du paysage ? Peut-être. Mais ce qui m'émerveille et me stupéfie, c'est l'extraordinaire exploit qu'a représenté la construction de ce téléphérique, de ces plate-formes, de ces passerelles et que représente encore leur entretien quotidien.






Pas franchement terribles mes photos j'en conviens, mais j'ai au moins une excuse : la couverture nuageuse qui leur donne l'air d'avoir été prises en noir et blanc. Pas grave, puisqu' il suffit d'aller ici ou , pour trouver infos et photos. En attendant d'y aller "pour de vrai", bien entendu !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

...et bien moi,j'ai eu ce paysage sous les yeux pendant une semaine de crapahut à Chamonix (du 12 au 19 juin) et c'est vrai qu'on ne s'en lasse pas ! et en plus il faisait beau!!! et j'aurais presque pu te rencontrer puisque nous étions basés au Centre Jean Franco à 2 pas du départ du téléphérique!
Roger