On perçoit les intentions du film, la volonté de s'interroger sur la complexité des sentiments de Paula, coincée entre la volonté de venger son père et l'empathie qu'elle finit par érpouver pour le jeune voyou. Quelque chose comme le syndrome de Stockholm ? La démonstration en tout cas m'a paru un peu laborieuse et le film assez ennuyeux.
Des livres en pagaille, voici ce que vous trouverez sur "LA ROUTE DES LIVRES". Mais au fil des pages, vous y trouverez bien d'autres choses : des poèmes ou des citations... des photos à l'occasion... des critiques de films peut-être... des récits de voyage... Qui sait où vous mènera cette route ?
07 avril 2018
Ojoloco 2018 : Matar a Jesus
Pas vraiment convaincue par ce Matar a Jesus, premier long métrage de Laura Mora Ortega. Sans doute parce que la confrontation entre Paula, une jeune étudiante, issue de la bonne bourgeoisie de Medellin et le petit voyou qui a assassiné son père m'a paru de bout en bout hautement improbable. En tout cas peu réaliste.
On perçoit les intentions du film, la volonté de s'interroger sur la complexité des sentiments de Paula, coincée entre la volonté de venger son père et l'empathie qu'elle finit par érpouver pour le jeune voyou. Quelque chose comme le syndrome de Stockholm ? La démonstration en tout cas m'a paru un peu laborieuse et le film assez ennuyeux.
On perçoit les intentions du film, la volonté de s'interroger sur la complexité des sentiments de Paula, coincée entre la volonté de venger son père et l'empathie qu'elle finit par érpouver pour le jeune voyou. Quelque chose comme le syndrome de Stockholm ? La démonstration en tout cas m'a paru un peu laborieuse et le film assez ennuyeux.
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