Il y a les mordorées : abricot, pêche, brugnon...
Il y a les rouges, nos préférées : cerise, groseille, framboise, mûre... ah, non, celle-ci est presque noire !
Il y a celles que l'on ne fait qu'en hiver : oranges amères.
Il y a les bizarres et les exotiques, auxquelles j'ai renoncé après quelques essais, mettons ... décevants !
En tout cas, quelle que soit leur couleur, j'adore faire des confitures !
A vrai dire, je préférais avant, avant l'induction, quand je pouvais utiliser ma belle bassine en cuivre. Mais puisque l'induction ne s'accorde pas avec le cuivre, tant pis je fais désormais des confitures dans une marmite ordinaire et franchement, au goût, on ne voit pas la différence.
Et ce que je préfère par-dessus tout, c'est empiler les pots, sagements rangés sur l'étagère du haut : des provisions pour l'hiver ! 52 pots soit 1 pot par semaine pour éviter le syndrome de manque.
Le syndrome de l'écureuil ?
31 juillet 2007
16 juillet 2007
Professeur Leroux
Michel Leroux - Professeur Leroux comme il aime à se faire appeler - vient de publier un livre, un recueil de pamphlets souvent vénimeux, mais toujours très intelligents contre les dérives de l'éducation nationale en général et de l'enseignement des lettres en particulier.
Humaniste, démocrate, rationaliste, Michel est tout cela. Il est surtout, comme je le suis moi-même, convaincu que la littérature est une école de vie et que son enseignement contribue à l'humanisation des individus. Très attentif à tout ce qui peut se publier sur le sujet et lecteur attentif des instructions officielles, il est très inquiet du devenir des lettres et, par conséquent, extrêmement vindicatif à l'encontre de ceux qu'il considère comme responsables de la dégradation de cet enseignement.
Vous aurez sans doute bien du mal à ne pas vous laisser convaincre par ce fin débatteur. Cela fait des années que j'essaye de lui résister et d'opposer à son pessimisme, ma confiance dans le bon sens de la plupart des enseignants qui ne jettent sur les instructions officielles qu'un regard distrait et n'accordent pas grand crédit aux propos des inspecteurs et autres rédacteurs de manuels qui ont depuis longtemps déserté les salles de classes (et quitté le front dirait Michel ! ). C'est de toute façon dans les classes, au jour le jour, que s'invente la pédagogie.
Et s'il ne tenait qu'à moi... il est certain que j'augmenterais le nombre d'heures consacrées à l'enseignement du français à l'école, au collège comme au lycée car la littérature, plus qu'une autre discipline a besoin de temps. Il faut parfois pas mal de tours et de détours pour amener un adolescent à la lecture, mais la tâche n'est pas impossible. Et pour gagner du temps et des heures, je n'hésiterai pas à ... supprimer les cours de latin et de grec. Oooops, c'est dit. Et j'en connais qui s'étranglent.
Pas de quoi pourtant ! Il est vrai que dans l'emploi du temps d'un professeur de lettres, les heures de latin ou de grec avec une poignée d'élèves (une quinzaine ? une demi-douzaine ? parfois encore moins ? ) et très peu de corrections, sont des heures faciles. Mais pendant ce temps le cours, le vrai, celui qui n'est pas optionnel, à 25, 30, 39 élèves ? Et les 39 dissertations à corriger contre 5 ou 6 micro versions ? Sans compter que la vraie démocratie à mes yeux c'est du grec et du latin pour tout le monde ou pour personne. Voilà, le pavé est dans la marre et je ne suis pas ministre. Tant pis ? Tant mieux ! Parce qu'avec une proposition pareille, je suis sûre d'avoir un préavis de grève dans les 24 heures. Parents et professeurs tous d'accord pour une fois !
Assez de provoc ! Et, au lieu de m'envoyer une volée de bois vert, allez chercher le livre de Michel (il est publié aux éditions de Fallois ) et on en reparlera.
Humaniste, démocrate, rationaliste, Michel est tout cela. Il est surtout, comme je le suis moi-même, convaincu que la littérature est une école de vie et que son enseignement contribue à l'humanisation des individus. Très attentif à tout ce qui peut se publier sur le sujet et lecteur attentif des instructions officielles, il est très inquiet du devenir des lettres et, par conséquent, extrêmement vindicatif à l'encontre de ceux qu'il considère comme responsables de la dégradation de cet enseignement.
Vous aurez sans doute bien du mal à ne pas vous laisser convaincre par ce fin débatteur. Cela fait des années que j'essaye de lui résister et d'opposer à son pessimisme, ma confiance dans le bon sens de la plupart des enseignants qui ne jettent sur les instructions officielles qu'un regard distrait et n'accordent pas grand crédit aux propos des inspecteurs et autres rédacteurs de manuels qui ont depuis longtemps déserté les salles de classes (et quitté le front dirait Michel ! ). C'est de toute façon dans les classes, au jour le jour, que s'invente la pédagogie.
Et s'il ne tenait qu'à moi... il est certain que j'augmenterais le nombre d'heures consacrées à l'enseignement du français à l'école, au collège comme au lycée car la littérature, plus qu'une autre discipline a besoin de temps. Il faut parfois pas mal de tours et de détours pour amener un adolescent à la lecture, mais la tâche n'est pas impossible. Et pour gagner du temps et des heures, je n'hésiterai pas à ... supprimer les cours de latin et de grec. Oooops, c'est dit. Et j'en connais qui s'étranglent.
Pas de quoi pourtant ! Il est vrai que dans l'emploi du temps d'un professeur de lettres, les heures de latin ou de grec avec une poignée d'élèves (une quinzaine ? une demi-douzaine ? parfois encore moins ? ) et très peu de corrections, sont des heures faciles. Mais pendant ce temps le cours, le vrai, celui qui n'est pas optionnel, à 25, 30, 39 élèves ? Et les 39 dissertations à corriger contre 5 ou 6 micro versions ? Sans compter que la vraie démocratie à mes yeux c'est du grec et du latin pour tout le monde ou pour personne. Voilà, le pavé est dans la marre et je ne suis pas ministre. Tant pis ? Tant mieux ! Parce qu'avec une proposition pareille, je suis sûre d'avoir un préavis de grève dans les 24 heures. Parents et professeurs tous d'accord pour une fois !
Assez de provoc ! Et, au lieu de m'envoyer une volée de bois vert, allez chercher le livre de Michel (il est publié aux éditions de Fallois ) et on en reparlera.
15 juillet 2007
JR et LADJ LY
14 juillet 2007
Arles
A l'occasion des rencontres photographiques, petit week-end dans le Sud, histoire de dé
couvrir quelques unes des 50 expositions de photos proposées en des lieux multiples d'Arles.
J'y allais surtout - tropisme chinois oblige - pour les photographes de Dashanzi qui exposent, comme il se doit, dans une friche industrielle, les anciens ateliers de la SNCF.
Mais aussi intéressantes, impressionnantes, fascinantes que soient les photos de Huang Rui, des Gao Brothers ou de Rongrong et Inri, il restait encore 49 autres expositions à voir, dont la plupart étaient aussi intéressantes, impressionnantes, fascinantes que celles des artistes pékinois.
Et puis, il faut bien le dire, les lieux d'expositions, à eux seuls valent la visite : friches industrielles mais aussi cinéma ou église désaffectés. Des espaces souvent labyrinthiques, murs plus ou moins décrépits, peintures à demi effacées, structures métalliques, charpentes apparentes... Aller d'exposition en exposition c'est suivre un étrange jeu de piste qui permet d'explorer la ville dans ses recoins les plus inhabituels, de découvrir des lieux où le touriste de passage n'aurait pas l'idée de pénétrer.
Dimanche dernier, c'était la fin des rencontres proprement dites, mais les expositions sont visibles jusqu'à la fin août. Je n'y retournerai peut-être pas cet été, mais l'an prochain, c'est certain !
http://www.rencontres-arles.com
http://www.magnumphotos.com
A mon grand regret, je n'ai pas trouvé de site pour ma photo préférée, qui n'est d'ailleurs pas une photo mais une vidéo en plan fixe sur très grand écran représentant le lac Algonquin sur fond de brume; on se perd dans le bleu, le gris, le vert quand surgit du coin supérieur droit un point noir qui se déplace lentement vers la gauche et que l'on identifie peu à peu comme un canoe glissant sur l'eau.
couvrir quelques unes des 50 expositions de photos proposées en des lieux multiples d'Arles.
J'y allais surtout - tropisme chinois oblige - pour les photographes de Dashanzi qui exposent, comme il se doit, dans une friche industrielle, les anciens ateliers de la SNCF.
Mais aussi intéressantes, impressionnantes, fascinantes que soient les photos de Huang Rui, des Gao Brothers ou de Rongrong et Inri, il restait encore 49 autres expositions à voir, dont la plupart étaient aussi intéressantes, impressionnantes, fascinantes que celles des artistes pékinois.
Et puis, il faut bien le dire, les lieux d'expositions, à eux seuls valent la visite : friches industrielles mais aussi cinéma ou église désaffectés. Des espaces souvent labyrinthiques, murs plus ou moins décrépits, peintures à demi effacées, structures métalliques, charpentes apparentes... Aller d'exposition en exposition c'est suivre un étrange jeu de piste qui permet d'explorer la ville dans ses recoins les plus inhabituels, de découvrir des lieux où le touriste de passage n'aurait pas l'idée de pénétrer.
Dimanche dernier, c'était la fin des rencontres proprement dites, mais les expositions sont visibles jusqu'à la fin août. Je n'y retournerai peut-être pas cet été, mais l'an prochain, c'est certain !
http://www.rencontres-arles.com
http://www.magnumphotos.com
A mon grand regret, je n'ai pas trouvé de site pour ma photo préférée, qui n'est d'ailleurs pas une photo mais une vidéo en plan fixe sur très grand écran représentant le lac Algonquin sur fond de brume; on se perd dans le bleu, le gris, le vert quand surgit du coin supérieur droit un point noir qui se déplace lentement vers la gauche et que l'on identifie peu à peu comme un canoe glissant sur l'eau.
13 juillet 2007
Somerset Maugham
Il y a des romans qui consolent de tout : un bon polar, un Zola ou... un Somerset Maugham !
A quoi est-ce que cela tient ? A pas grand chose sans doute.
A la certitude que dès les premières pages je me retrouverai dans un univers familier - résultat d'une longue connivence - bien que totalement dépaysant - rien à voir avec ma propre tranche de vie - et que, le livre achevé, il me restera matière à penser, matière à rêver...
Ainsi La passe dangereuse de Somerset Maugham.
Comme toujours chez cet auteur, il s'agit d'une histoire d'amour passionnelle qui se termine nécessairement mal. Un couple d'Anglais mal assortis, elle une petite dinde frivole et égocentrique, lui un chercheur en biologie en poste à Hong Kong. L'exotisme, le décalage temporel (l'histoire se passe dans les années 20), le décalage social (fonctionnaires coloniaux et demi-mondains) autant d'éléments romanesques pour midinettes ennamourées si l'histoire n'était racontée par Somerset Maugham.
La "Somerset Maugham touch" ? Pas si facile à définir. Une plume à la fois subtile et féroce, caustique à l'occasion quand il s'agit de démonter les mécanismes mondains, pleine de retenue quand il s'agit non de dire mais de suggérer la passion, d'autant plus violente qu'elle exerce ses ravages derrière le masque de la bonne éducation et le respect des conventions sociales. La glace et le feu . Chez Somerset Maugham, l'assassin s'habille toujours pour dîner. So bristish !
De là à imaginer que tous les Anglais sont comme cela...
Du roman de Somerset Maugham, John Curran a fait un film, sorti en 2006 Le voile des illusions; je l'ai manqué. Mais ça m'est bien égal puisque j'ai lu le roman ! Et qu'un roman de Somerset Maugham donne toujours envie d'en lire un autre : c'est facile, c'est léger, mais au fond pas si frivole que cela.
A quoi est-ce que cela tient ? A pas grand chose sans doute.
A la certitude que dès les premières pages je me retrouverai dans un univers familier - résultat d'une longue connivence - bien que totalement dépaysant - rien à voir avec ma propre tranche de vie - et que, le livre achevé, il me restera matière à penser, matière à rêver...
Ainsi La passe dangereuse de Somerset Maugham.
Comme toujours chez cet auteur, il s'agit d'une histoire d'amour passionnelle qui se termine nécessairement mal. Un couple d'Anglais mal assortis, elle une petite dinde frivole et égocentrique, lui un chercheur en biologie en poste à Hong Kong. L'exotisme, le décalage temporel (l'histoire se passe dans les années 20), le décalage social (fonctionnaires coloniaux et demi-mondains) autant d'éléments romanesques pour midinettes ennamourées si l'histoire n'était racontée par Somerset Maugham.
La "Somerset Maugham touch" ? Pas si facile à définir. Une plume à la fois subtile et féroce, caustique à l'occasion quand il s'agit de démonter les mécanismes mondains, pleine de retenue quand il s'agit non de dire mais de suggérer la passion, d'autant plus violente qu'elle exerce ses ravages derrière le masque de la bonne éducation et le respect des conventions sociales. La glace et le feu . Chez Somerset Maugham, l'assassin s'habille toujours pour dîner. So bristish !
De là à imaginer que tous les Anglais sont comme cela...
Du roman de Somerset Maugham, John Curran a fait un film, sorti en 2006 Le voile des illusions; je l'ai manqué. Mais ça m'est bien égal puisque j'ai lu le roman ! Et qu'un roman de Somerset Maugham donne toujours envie d'en lire un autre : c'est facile, c'est léger, mais au fond pas si frivole que cela.
06 juillet 2007
Harukami versus Barbery
Deux livres lus à peu de temps d'intervalle :
L'élégance du Hérisson de Muriel Barbery et Le Passage de la nuit de Haruki Murakami.
La première est française et passionnée par le Japon. Le second est Japonais.
Quelque chose en commun ?
Pas vraiment !
Mais le rapprochement est, je crois intéressant car il met en évidence l'écart - l'abîme ? - qui sépare les deux auteurs.
Les deux romans mettent en scène des personnages insolites dont la rencontre est improbable.
Une concierge intellectuelle, réfractaire à la phénoménologie husserlienne mais fan de Tolstoi, Proust et Ozu; une gamine surdouée et suicidaire dans le roman de Muriel Barbery.
Une jeune fille vaguement dépressive et sa soeur, un musicien, une gérante d'hôtel de passe, une prostituée chinoise... et quelques autres personnages tout aussi incongrus dans le roman d'Haruki, Murakami.
Une seul lieu dans le roman français : un immeuble de la rue de Grenelle à Paris.
Un seul lieu (Tokyo !) mais surtout une seule nuit, quasi chronométrée dans le roman japonais.
Mais ...
Murakami parvient à rendre crédibles ses personnages, aussi bizarres soient-ils, et vraisemblables les situations, aussi bizarres soient-elles. Car ce qu'il met en oeuvre c'est tout simplement l'humain.
Le roman de Muriel Barbery, reste une construction intellectuelle, une exercice de style brillant, bourré de références et de clins d'oeil, un livre de connivence qui séduit l'intelligence mais n'émeut pas. Un livre d'agrégé, de normalienne sans doute, pas un livre d'écrivain !
L'Elégance du hérisson, est, au fond, parfaitement représentatif d'une certaine littérature française, soucieuse avant tout d' inventions formelles. Le Passage de la nuit s'inscrit, lui, dans la littérature universelle, celle qui, en tous temps en tous lieux trouve ses lecteurs.
PS. Bien que j'ai préféré Murakami à Barbery, voici deux liens intéressants.
Le premier propose un commentaire de l'auteur sur son livre, sur les intentions poursuivies.
http://www.passiondulivre.com/livre-25194-l-elegance-du-herisson.htm
Le second est tout bonnement son site perso, illustré de superbes photos signées Stéphane Barbery.
http://muriel.barbery.net/
L'élégance du Hérisson de Muriel Barbery et Le Passage de la nuit de Haruki Murakami.
La première est française et passionnée par le Japon. Le second est Japonais.
Quelque chose en commun ?
Pas vraiment !
Mais le rapprochement est, je crois intéressant car il met en évidence l'écart - l'abîme ? - qui sépare les deux auteurs.
Les deux romans mettent en scène des personnages insolites dont la rencontre est improbable.
Une concierge intellectuelle, réfractaire à la phénoménologie husserlienne mais fan de Tolstoi, Proust et Ozu; une gamine surdouée et suicidaire dans le roman de Muriel Barbery.
Une jeune fille vaguement dépressive et sa soeur, un musicien, une gérante d'hôtel de passe, une prostituée chinoise... et quelques autres personnages tout aussi incongrus dans le roman d'Haruki, Murakami.
Une seul lieu dans le roman français : un immeuble de la rue de Grenelle à Paris.
Un seul lieu (Tokyo !) mais surtout une seule nuit, quasi chronométrée dans le roman japonais.
Mais ...
Murakami parvient à rendre crédibles ses personnages, aussi bizarres soient-ils, et vraisemblables les situations, aussi bizarres soient-elles. Car ce qu'il met en oeuvre c'est tout simplement l'humain.
Le roman de Muriel Barbery, reste une construction intellectuelle, une exercice de style brillant, bourré de références et de clins d'oeil, un livre de connivence qui séduit l'intelligence mais n'émeut pas. Un livre d'agrégé, de normalienne sans doute, pas un livre d'écrivain !
L'Elégance du hérisson, est, au fond, parfaitement représentatif d'une certaine littérature française, soucieuse avant tout d' inventions formelles. Le Passage de la nuit s'inscrit, lui, dans la littérature universelle, celle qui, en tous temps en tous lieux trouve ses lecteurs.
PS. Bien que j'ai préféré Murakami à Barbery, voici deux liens intéressants.
Le premier propose un commentaire de l'auteur sur son livre, sur les intentions poursuivies.
http://www.passiondulivre.com/livre-25194-l-elegance-du-herisson.htm
Le second est tout bonnement son site perso, illustré de superbes photos signées Stéphane Barbery.
http://muriel.barbery.net/
05 juillet 2007
03 juillet 2007
Un indice supplémentaire
02 juillet 2007
Vous reprendrez bien un peu de ... poésie ?
Histoire de changer un peu, voici deux poèmes que j'aime beaucoup, deux poèmes très courts pour ne pas encombrer la mémoire.
Le premier est de Guillaume Apollinaire
Et l'unique cordeau des trompettes marines
Le second est de Jacques Prévert
Le premier est de Guillaume Apollinaire
Chantre
Et l'unique cordeau des trompettes marines
Le second est de Jacques Prévert
LES PARIS STUPIDES
Un certain Blaise Pascal
etc.. etc...
Un certain Blaise Pascal
etc.. etc...
Le premier m'enchante pas ses sonorités; le second me fait toujours rire (mais nous parlerons un jour de Pascal, très sérieusement, on ne peut pas faire à moins ! )
- C'est tout ? Un peu court pour un "lundi classique", non ? Tu nous avais habitués à d'autres longueurs...
- Et bien justement !
- C'est tout ? Un peu court pour un "lundi classique", non ? Tu nous avais habitués à d'autres longueurs...
- Et bien justement !
01 juillet 2007
Une autre énigme
Passent les jours et passent les semaines...
Kronos ce vorace ne cesse de dévorer mon temps !
Alors, pour reprendre le fil, voici une énigme en quatre images .
Toits de lauze ...
Oeil de velours ...
Flore archnéenne
Chemins curieusement enracinés
Un pays que l'on découvre pas à pas, de village en village.
Pour Roger l'énigme est facile à déchiffrer.
Mais pour les autres ?
Kronos ce vorace ne cesse de dévorer mon temps !
Alors, pour reprendre le fil, voici une énigme en quatre images .
Toits de lauze ...
Oeil de velours ...
Flore archnéenne
Chemins curieusement enracinés
Un pays que l'on découvre pas à pas, de village en village.
Pour Roger l'énigme est facile à déchiffrer.
Mais pour les autres ?
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