
Et maintenant, les jours vont rallonger ! Tant mieux !
Des livres en pagaille, voici ce que vous trouverez sur "LA ROUTE DES LIVRES". Mais au fil des pages, vous y trouverez bien d'autres choses : des poèmes ou des citations... des photos à l'occasion... des critiques de films peut-être... des récits de voyage... Qui sait où vous mènera cette route ?
 Mais la bergerie est bien là, toujours là. Elle témoigne de ce qui , un temps, a été possible. Elle témoigne aussi de l'extraordinaire créativité de ceux qui étaient prêts à tout pour garder leurs terres, qui ont dû tout apprendre des luttes sociales, et inventer au fur et à mesure les moyens de leur action. L'imagination au pouvoir ! Vieux slogan soixante-huitard !
 Mais la bergerie est bien là, toujours là. Elle témoigne de ce qui , un temps, a été possible. Elle témoigne aussi de l'extraordinaire créativité de ceux qui étaient prêts à tout pour garder leurs terres, qui ont dû tout apprendre des luttes sociales, et inventer au fur et à mesure les moyens de leur action. L'imagination au pouvoir ! Vieux slogan soixante-huitard ! Le musée des Beaux-Arts de Lyon présente en ce moment et jusqu'au 2 Janvier,  une exposition particulièrement stimulante.
Le musée des Beaux-Arts de Lyon présente en ce moment et jusqu'au 2 Janvier,  une exposition particulièrement stimulante. Antoine de Galbert a choisi d'associer certaines oeuvres de sa   collection avec des oeuvres classiques prélevées dans la collection du   musée. Tout l'intérêt de l'exposition tient à cette relation entre les   oeuvres, qui fonctionne relativement bien parce qu'elle contraint le   spectateur à s'interroger sur le sens des oeuvres plus qu'il ne ferait  sans ce stimulus.
Antoine de Galbert a choisi d'associer certaines oeuvres de sa   collection avec des oeuvres classiques prélevées dans la collection du   musée. Tout l'intérêt de l'exposition tient à cette relation entre les   oeuvres, qui fonctionne relativement bien parce qu'elle contraint le   spectateur à s'interroger sur le sens des oeuvres plus qu'il ne ferait  sans ce stimulus. Comme toute exposition celle-ci traduit le regard de son commissaire, un regard en l'occurrence assez sombre, voire tragique : chair, sang, folie, religion, magie, violence, mort...
Comme toute exposition celle-ci traduit le regard de son commissaire, un regard en l'occurrence assez sombre, voire tragique : chair, sang, folie, religion, magie, violence, mort... Je n'avais pas jusqu'ici de rubrique musicale. Je suis en ce domaine beaucoup trop ignorante.
Je n'avais pas jusqu'ici de rubrique musicale. Je suis en ce domaine beaucoup trop ignorante. Les Bisons de Broken Heart est un livre pour tous les amoureux de la nature et des grands espaces, un livre pour ceux que fascinent les grands mythes américains, celui des pionniers assurant leur survie et celle de leur famille dans des conditions effroyables, celui  de "l'homme aux prises avec les forces de la nature qu'il finit toujours par maîtriser", bien qu'O'Brien s'inscrive en faux contre ce mythe, car l'homme blanc  en fin de compte n'a pas maîtrisé grand chose, il a en revanche beaucoup ravagé, beaucoup massacré.
Les Bisons de Broken Heart est un livre pour tous les amoureux de la nature et des grands espaces, un livre pour ceux que fascinent les grands mythes américains, celui des pionniers assurant leur survie et celle de leur famille dans des conditions effroyables, celui  de "l'homme aux prises avec les forces de la nature qu'il finit toujours par maîtriser", bien qu'O'Brien s'inscrive en faux contre ce mythe, car l'homme blanc  en fin de compte n'a pas maîtrisé grand chose, il a en revanche beaucoup ravagé, beaucoup massacré. 




 Mais le roman de James Burke est différent des précédents. Il est écrit avec la rage au ventre. Car depuis, Katrina est passé sur la Nouvelle Orléans.  L'intrigue  (un viol - un meurtre - une vengeance peut-être ), bien que parfaitement ficelée est presque secondaire. Parce que l'essentiel est ailleurs. L'essentiel est dans la description d'une catastrophe annoncée et surtout dans la description des jours et des semaines qui ont suivi Katrina : l'absence de secours immédiats, les dévastations, les tergiversations politique, la corruption, la lâcheté, la violence, le racisme, le retour à l'état sauvage. Lorsque l'Etat et la loi cessent de fonctionner, plus rien ne s'oppose au Mal.
Mais le roman de James Burke est différent des précédents. Il est écrit avec la rage au ventre. Car depuis, Katrina est passé sur la Nouvelle Orléans.  L'intrigue  (un viol - un meurtre - une vengeance peut-être ), bien que parfaitement ficelée est presque secondaire. Parce que l'essentiel est ailleurs. L'essentiel est dans la description d'une catastrophe annoncée et surtout dans la description des jours et des semaines qui ont suivi Katrina : l'absence de secours immédiats, les dévastations, les tergiversations politique, la corruption, la lâcheté, la violence, le racisme, le retour à l'état sauvage. Lorsque l'Etat et la loi cessent de fonctionner, plus rien ne s'oppose au Mal.


 Allure décidée, démarche rapide,  le long d'une route, d'une plage, sur le quai d'un port, ils avancent. Debout, bien droits.
Allure décidée, démarche rapide,  le long d'une route, d'une plage, sur le quai d'un port, ils avancent. Debout, bien droits. Quant au petit "binoclard", il n'avait aucun besoin de ces vieilles lunettes qui n'étaient ni à sa vue ni même à sa taille.  (Comme d'ailleurs les savates dépareillées à ses pieds ! ) Il les avait sans doute trouvées par hasard et les portait à son cou comme une breloque, sans en connaître l'usage.
Quant au petit "binoclard", il n'avait aucun besoin de ces vieilles lunettes qui n'étaient ni à sa vue ni même à sa taille.  (Comme d'ailleurs les savates dépareillées à ses pieds ! ) Il les avait sans doute trouvées par hasard et les portait à son cou comme une breloque, sans en connaître l'usage.
 Des enfants, il y en a beaucoup à Madagascar.
Des enfants, il y en a beaucoup à Madagascar.













 
 Depuis le bateau, on aperçoit les contours de l'île, on devine quelques barques, quelques maisons.
Depuis le bateau, on aperçoit les contours de l'île, on devine quelques barques, quelques maisons. Une fois à terre, on retrouve la végétation : arbres du voyageurs, bananiers, palmiers de toute sortes.
Une fois à terre, on retrouve la végétation : arbres du voyageurs, bananiers, palmiers de toute sortes.
 En canot, on s'aventure dans  la mangrove, en profitant de la marée haute. A marée basse, il n'y aura plus assez d'eau.
En canot, on s'aventure dans  la mangrove, en profitant de la marée haute. A marée basse, il n'y aura plus assez d'eau.



