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Il est effectivement question dans ce roman, d'abeilles et de petites fleurs, mais il y est surtout question d'amour et de chagrin; il y est question de tendresse, de malentendus, de rencontres qui ne durent pas. Il y est encore question d'errance pour essayer d'oublier ce qui fait trop mal, avant de revenir au lieu originel pour enfin accepter et continuer malgré tout de s'étonner chaque jour de la beauté du monde.
On pense vaguement à certain roman de Giono, Un de Baumugnes, pour la violence des sentiments, et l'attention portée à la nature. Mais en réalité, La Beauté du monde est un roman impressionniste, un roman délicat, subtil, comme sa couverture.
C'est un roman d'Héctor Tizon, un écrivain argentin que je ne connaissais pas, mais je n'en resterai certainement pas là !
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