A l'embouchure des fleuves, la mer remonte parfois très haut à l'intérieur des terres, laissant à marée basse d'étranges paysages traversés de sillons plus ou moins creusés dans la vase. La lumière joue dans les flaques, les traces humides laissées par la mer lorsqu'elle se retire.
Paysages lunaires, fantasmagoriques, propices à toutes les rêveries qu'un flotteur à peine rattache à la réalité.
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