Gribouillis libérateurs, frondeurs ?
ou véritable démarche artistique ?
La question évidemment se pose.
A chacun d'y répondre selon son sentiment.
Ce qui me gène, en réalité, ce n'est pas la qualité artistique des oeuvres : certaines sont en réalité tout à fait séduisantes, et tiennent de l'art de la fresque autant que du graffiti.
Non, ce qui me gène en réalité, c'est qu'il était (apparemment ?) interdit de photographier les oeuvres exposées.
Mais dans la mesure où le graffiti est né dans la plus totale illégitimité, en s'appropriant murs et façades, sans se soucier ni de droit de propriété ni de respect du bien d'autrui, n'est-il pas, pour le moins paradoxal, que d'en interdire la reproduction ? A des fins non commerciales cela va de soi !
Allons, allons.
Une petite buvette, dans le jardin de la Fondation.
Une petite pause, dans un cadre très ... théâtral.
La polémique, ce sera pour plus tard !
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