Dans son numéro du 8 Avril, Libération annonce le retour en force de la figuration narrative.
La revanche tardive de la figuration sur l'abstraction ? Vieille querelle qui n'a pas beaucoup de sens. Il y a des peintres qui ont des choses à dire, quelle que soit la manière dont ils s'y prennent. Et il y a les autres. Il y a surtout les tableaux qui vous accrochent et ceux qui vous laissent indifférent.
Qu'importe donc l'étiquette, et peu importent les mots clefs que le Centre Pompidou accroche au nom de Télémaque - Afrique (alors qu'il est Haïtien), Anticolonialisme, Art engagé, Contre-culture , Culture populaire, Négritude, Racisme, Sexualité, Surréalisme ... les deux tableaux que j'ai préférés sont ceux qui m'ont fait tourner la tête.
Mais, même la tête à l'envers, je n'ai pas vraiment réussi à déchiffrer le message de ce domino. Et le triptyque m'a laissée tout aussi perplexe.
Mettons que j'aime bien les couleurs, que j'aime bien l'assemblage... Mettons aussi que ces deux tableaux me proposent un questionnement sans fin, et c'est peut-être ce que je préfère. Une énigme sans solution... Ou plutôt l'envie d'en savoir plus sur ce Monsieur Télémaque. Petit Célibataire un peu nègre et assez joyeux comme le suggère l'intitulé d'un autre de ces tableaux ?
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