Au musée de Boston je suis tombée sur ce tableau de Saenredam, qui rappellera à certains de mes étudiants un texte de Barthes sur le vide et le plein dans la peintures hollandaise qui les a fait damner.
J'aime bien Saenredam et ses églises vides, j'aime bien la peinture hollandaise toujours prête à déborder du tableau tant elle est pleine d'objets et de gens, et l'analyse de Barthes, fine, subtile, ouvrait des perspectives nouvelles sur la peinture, mais elle était, je l'avoue, très difficile à décoder pour un étudiant de 20 ans.
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