Ces deux photographes ou plutôt les oeuvres qu'ils présentaient sur les cimaises d'Arles m'ont littéralement enchantée, alors qu'elles sont radicalement différentes des photos que je présentais dans mon précédent billet : fini le réalisme, plus de témoignage, rien sur l'état du monde. Voici venu le temps du rêve.
L'un et l'autre mettent en scène un univers imaginaire, macabre sans être morbide dans les photos de Richard Avedon ...
... féérique et parfois surréaliste dans celle de Tim Walker.
Je ne vois pas pourquoi il faudrait choisir entre le rêve et la réalité.
25 août 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire