08 août 2008

Fabienne Verdier

J'ai d'abord découvert L'Unique trait de Pinceau.
Et j'ai été séduite.


Puis, quand le livre est sorti en 2003, j'ai lu Passagère du silence. Dans la foulée j'ai été écouter Fabienne Verdier qui venait parler de son livre, de sa vie en Chine, de sa peinture dans ma librairie préférée.
Et j'ai été fascinée.


Je viens d'emprunter à la bibliothèque son dernier opus : Entre ciel et terre.
Et je suis subjuguée.


Mais comment parler de Fabienne Verdier ? Comment dire mon admiration pour cette femme étonnante ? Comment surtout donner envie, à ceux qui ne la connaissent pas, de la découvrir.

Sans doute faut-il commencer par lire le livre où elle raconte comment, âgée d'une vingtaine d'années, elle part en Chine à la recherche d'elle-même; comment elle a partagé la vie ordinaire des étudiants chinois à une époque - le début des années 80 - où la Chine n'était pas encore entrée dans l'ère de la marchandisation; comment, dans son école de Chongqing, elle a pratiqué la calligraphie avec passion et obstination jusqu' à y trouver la clef de son art.

C'est un récit de vie comme on en lit peu, celui d'une femme hors du commun. Et pourtant, elle parle de ce qu'elle fait avec une telle simplicité, qu'elle paraît très proche de nous.

Ensuite, quand vous aurez fini le livre, vous ferez sans doute comme moi, vous le relirez et vous vous précipiterez sur tous les articles, tous les livres qui parlent de Fabienne Verdier et surtout qui montrent son travail. Quitte à faire autant de kilomètres qu'il faudra pour voir sa prochaine exposition.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je suis entièrement de votre avis, cette femme est fascinante. Son art s'élève vers la perfection et son parcours soulève l'admiration, je lis tout sur elle c'est merveilleux.