Mais sur place, ce que l'on voit, c'est l'usage qui est fait de ce bois imputrescible.
Une guérite pour abriter les jarres à eau mises à disposition des passants assoiffés, comme ici, à l'entrée d'un temple...
Des frises délicatement sculptées pour orner les chapiteaux des monastères, les plus modestes comme les plus somptueux...
La couleur du bois varie avec le temps et finit toujours par prendre de jolies teintes grises.
Le plus étonnant est peut-être de voir ce bois, travaillé si délicatement, associé à de vulgaires tôles ondulées, parfois peintes en rose il est vrai, comme dans l'ancien palais royal de Mandalay, le Shwenandaw Kyaung, autrefois recouvert de feuilles d'or dont les intempéries l'ont - heureusement - débarrassé.
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