Pas une, pas deux, pas trois, mais des dizaines, des centaines de stupas. Des toutes neuves, des même pas encore finies, pure béton.
Et puis des vieilles qui ont, depuis longtemps perdu leur dorure, et restent là, l'air un peu penché, le chapeau de travers.
Et des vraiment très vieilles, usées par le temps, qui ressembleraient presque à des cheminées d'usine. Certaines ont été éventrées par des racines et le banyan qui pousse à l'intérieur a lui-même l'air d'un survivant.
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