26 octobre 2015

L'homme irrationnel

Un Woody Allen de plus. Pas très différent des précédents. On y retrouve l'universitaire d'un certain âge, lassé de tout, dépressif, dont s'amourache une très jeune fille, et pour terminer le triangle, la femme d'âge mûr sans complexe, prête à faire des folies de son corps. Et puis surtout il y a cette fascination de Woody Allen pour le crime parfait. Il suffit d'une conversation surprise dans une cafeteria pour que germe l'idée de meurtre, meurtre qui permettra au meurtrier de retrouver un ses à sa vie.


Aller voir un Woody Allen fait partie de ces plaisirs simples : on sait ce qu'on y trouvera des personnages bien observés, des acteurs de talents, des dialogues ciselés...  Éros et thanatos, et ses corollaires,  la jeunesse, la vieillesse le tout sur fond de jazz. Ce n'est pas désagréable. Ce n'est pas non plus une découverte .

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