"Le long de la route il y a deux ou trois maisons de thé.
Souvent le matin elles n'ont pas d'eau bouillante, et même pas de thé.
En déduisez-vous que ces gens sont grossiers ?
Regardez sur la table : une branche de myrthe en fleur dans un simple vase bleu."
J'aime beaucoup ce poème de Yang Wan-Li, traduit par Claude Roy dans le recueil consacré à la poésie chinoise : Le Voleur de poèmes ; mais je n'ai pas (encore) réussi à me procurer le texte original. Dommage!
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