A-t-elle besoin d'un commentaire ?
Mais je ne sais pourquoi, à voir ainsi la liberté massacrée, les seuls mots qui me viennent aux lèvres sont ceux du poème d'Aragon :
Sur mes cahiers d'écolier ...
Sur les murs de mon ennui...
J'écris ton nom ...
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté
Sur les murs de mon ennui...
J'écris ton nom ...
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté
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