Arcades, colonnades, galeries, passages couverts... A Turin, comme à Bologne, le chaland peut "chalander", à l'abri du soleil quand il fait chaud, comme à l'abri de la pluie quand celle-ci, exceptionnellement se décide à tomber.
Chacun loue donc cette ingénieuse façon de concevoir le déplacement des piétons dans la ville.
J'en conviens aisément d'autant que ces enfilades offrent des perspectives très photogéniques, de jour comme de nuit.
Elles ont cependant un défaut majeur à mes yeux : elles bloquent mon horizon et m'empêchent de voir la rue !
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