Il pleuvait, ou plus exactement, il a plu sur le festival, et les ateliers SNCF, hauts lieux d'exposition, avaient, ce matin-là, l'air plus bizarres que jamais.
Il ne pleut pas souvent sur Arles. Cirés et parapluies ne sont pas d'un usage courant dans la ville.
Mais les Arlésiens sont gens de ressource : cartons sur la tête, sacs de plastiques façon "chaussons de chirurgie" pour protéger les baskets, voilà un bénévole décidé que rien n'arrête ! Et surtout pas la pluie.
25 juillet 2011
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