Deux histoires de misère, deux dérives d'aujourd'hui avec des personnages englués dans les problèmes financiers, mais pas seulement. Car l'extrême pauvreté a aussi un impact psychologique.
Hélas, un bon sujet ne fait pas nécessairement un bon roman. Et le livre de Thomas Melle reste à mon goût trop proche de la démonstration. Le recours à la littérature pour parler des problèmes de la société est souvent un moyen d'accrocher plus de lecteurs qu'un article ou une revue, mais il y faut un savoir-faire, un talent que je n'ai pas trouvé dans ce livre. Intéressant, certes mais bien loin d'un Steinbeck ou d'un Zola !
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