Le trajet est court, qui va de Malte à Gozzo mais le changement est radical : d'un côté un île très urbanisée, de l'autre des maisons isolées au creux d'un vallon, sur le flanc d'un côteau.
Et à cette saison tout est vert, d'un vert qui évoque plutôt l'Irlande qu'une île méditerranéenne.
Si ce n'était les figuiers de barbarie, vraiment on se croirait ... beaucoup plus à l'Ouest !
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