 Je ne crois pas que l'homme ait été très sympathique, et
les deux romans biographiques que j'ai essayé de lire ne me l'ont pas rendu
plus sympathique. Les romans n'étaient sans doute pas très bons et je les ai
abandonnés en cours de route : ls tablaient beaucoup plus sur sa vie
sentimentale - particulièrement agitée - que sur son métier d'architecte? Or c'est l'architecte qui m'intéresse.
Je ne crois pas que l'homme ait été très sympathique, et
les deux romans biographiques que j'ai essayé de lire ne me l'ont pas rendu
plus sympathique. Les romans n'étaient sans doute pas très bons et je les ai
abandonnés en cours de route : ls tablaient beaucoup plus sur sa vie
sentimentale - particulièrement agitée - que sur son métier d'architecte? Or c'est l'architecte qui m'intéresse.
Originaire
du Wisconsin, Fank Lloyd Wright a beaucoup construit dans sa région d'origine,
ou dans l'Etat voisin, l'Illinois, à Chicago mais aussi à Oak Park où il avait
d'ailleurs sa maison et son studio. Mais c'est à Racine, petite ville du
Wisconsin que j'ai eu l'occasion de visiter deux oeuvres majeures de
l'architecte.
La première visite a été pour le siège de l'entreprise S.C. Johnson, construit en 1936, auquel a été adjointe en 1950 une tour de 50 mètres, une des rares constructions verticales de F.L. Wright. Utilisée comme centre de recherche, la tour a été fermée pour des raisons sanitaires et ne se visite pas.
On entre dans le bâtiment administratif par en-dessous ce qui permet de découvrir les piliers "dendriform" qui servent de socle au bâtiment, à l'extérieur comme à l'intérieur. 
L'intérieur se visite, mais ne se photographie pas. Dommage ! Car l'impression de lumière et d'espace est tout à fait extraordinaire. Tout, bien entendu a été dessiné par F. L. Wright, les bureaux, les fauteuils - y compris les fauteuils à trois pieds à l'équilibre un peu précaire - les luminaires, les ascenseurs.... Les couleurs, le fameux Cherokee Red, les matières ont elles aussi été déterminées par l'architecte. D'où sans doute cette impression d'extrême harmonie. 
 H.F. Johnson, satisfait du travail de son architecte lui a confié dans la foulée la réalisation d'une villa, achevée en 1939. 
Ou alors une photo de la maquette, avec F.L.W. en personne posant derrière.
Quatre ailes donc, une pour les parents, une pour les enfants, une pour les amis et une pour les domestiques (on est dans les années 30 quand même !) Et une gigantesque pièce sans cloison mais avec mezzanine, qui fait salon, bureau, bibliothèque, salle-à-manger... autour de deux grandes cheminées.
Lumière zénithale grâce aux verrières du toit, vue sur le jardin et la nature environnante grâce au grandes baies vitrées...
Du pur Frank Lloyd Wright.
Mais ... pendant que l'on changeait assiettes et couverts, le face-à face des convives que ne séparait plus la table n'était-il pas ...  un peu... embarrassant ? 
http://www.galenfrysinger.com/racine_wingspread.htm
http://www.peterbeers.net/interests/flw_rt/flw_roadtrip.htm






 
 
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