Un bouddha amputé des ses mains, un autre que l'on s'apprête à décapiter ?
Mais non ce n'est qu'une étape dans la fabrication de la statue.
Curieux quand même ce bouddha masqué; on le dirait venu d'une autre planète.
Finalement je le préfère "en cheveux", d'autant que j'ai le choix entre deux modèles de chignon.
Les bouddhas de marbre, une fois taillés, sont d'abord poncés à la ponceuse électrique,
puis soigneusement baignés, lustrés et polis à la mains, avant d'attendre l'éventuel acheteur, soucieux d'acquérir des mérites autant qu'une statue de bouddha.
Ils ont l'air de tous se ressembler, mais ils ont tous été faits à la main, et tant qu'il y aura des acheteurs pour les bouddhas, le savoir faire des artisans birmans se maintiendra.
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