Naviguer à la voile sur le Nil est incontestablement un privilège !
Bien sûr, notre bateau était un peu plus grand ...
Et puis il portait un très joli nom : La Flâneuse du Nil.
Avant que le vent gonfle la grand'voile, il faut la hisser (et, éventuellement, monter au mât pour décoincer la drisse. ) Parce que les vieux gréements, les poulies en bois, les cordages en chanvre, c'est bien joli, mais ça ne se manipule pas si facilement !
Il y faut des mains expertes.
Comme celles du "rais", le capitaine de la Flâneuse.
Un souffle de vent, une petite brise ... et le bateau glisse doucement sur l'eau.
Lorsque le vent tombe, c'est le remorqueur qui prend la tête et a navigation se poursuit jusqu'à la fin du jour
Croisière paisible sur le Nil, loin, très loin du fracas politique.
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