Le film n'est pas très long, un indéniable atout. Car il n'y a pas matièreà épiloguer sur l'errance de ce jeune japonais revenu à Séoul dans l'espoir d'y retrouver une femme tendrement aimée. Simple prétexte pour faire le portrait d'un quartier de Séoul, de ses habitants, ses cafés, ses maisons d'hôte ? Sans doute.
Une lettre qui échappe des mains et dont les feuillets sont ramassés en désordre semble donner la clef du film : en effet, de ce moment-là, la suite des séquences devient aléatoire; reste pour le spectateur à recomposer l'ordre chronologique dans sa tête. De quoi occuper les 66 minutes du film sans trop s'ennuyer.
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