Revenir à Arles, encore et encore.
Et tomber, encore et encore, sous le charme de cette ville qui sait si bien conjuguer permanence et changement, passé et avenir pour mieux profiter du moment présent.
Au coin d'une rue, deux ardoises invitent le passant à échanger des livres et ... arroser les plantes.
Les graffitis sur la porte d'un garage permettent de se repérer dans le labyrinthe des ruelles, qui portent souvent un double nom comme pour embrouiller le passant qui cherche son chemin.
Mais ce qui importe le plus par ces temps de canicule, c'est de cheminer dans Arles en empruntant les rues à l'ombre, comme la rue Diderot par exemple, qui, pour peu qu'on soit attentif, recèle quelques surprises....
...comme ce gros chat qui a laissé des traces de pattes dans le bitume...
ou cet ange faussement assoupi, qui se prélasse sur son nuage. Ange au féminin. Ange au regard mutin.
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