Quand on visite une abbaye, on sait plus ou moins à quoi s'attendre : des volumes harmonieux, des ouvertures en ogive ...
des formes et des couleurs douces, un cadran solaire ....
Des jeux d'ombre et de lumière dans le cloître ... mais je ne m'attendais certainement pas à trouver d'immenses fûts à l'intérieur de la nef. Vides apparemment.
La transformation de l'église-abbatiale en chai date des années qui ont suivi la Révolution française, mais il y a fort à parier que Rabelais aurait apprécié cette transformation lui qui donnait le pas au service du vin sur le service divin.
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