Tel est le prétexte choisi par Rachid Benzine pour évoquer, sans haine ni violence, ce qu'ont vécu les Palestiniens depuis 1948. Racontée comme une fable, la tragédie n'en est pas moins douloureuse. Et elle n'a d'autre échappatoire que la lecture. Hugo, Levi, Shakespeare, Mourid al-Barghouti ou le livre de Job, des titres de livres, des noms d'auteurs qui ont permis au vieux libraire de continuer à vivre malgré tout. Une belle leçon d'humanité. Que ne liront certainement pas ceux qui pourraient changer la fin de l'histoire.
01 septembre 2025
Rachid Benzine, L'homme qui lisait des livres
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire