Impossible de concevoir un repas iranien sans pain ! Et quel pain ! Un régal quand il est frais.
C'est pourquoi l'on ne s'étonne pas de voir de longues queues se former devant l'échoppe du boulanger qui fait cuire son pain devant vous.
En 3 mouvements et 1 minutes chrono !
Attention, ça va très vite : flip flop la pâte passe d'une main sur l'autre et s'étire un peu....
Dès qu'il a pris la forme attendue, le pain est déposé sur un moule en bois, plaqué à l'intérieur du four en pierre (le grand trou noir devant le boulanger) ...
... le temps de façonner une autre miche, la première est déjà prête, démoulée et remise au client qui s'en va la mine réjouie, son pain brûlant au bout des doigts.
Il est vrai qu'avec des fours plus sophistiqués, on peut fabriquer des pains plus sophistiqués ....
... voire des gâteaux comme ceux qui ont fait la réputation de Fuman.
Légers et sucrés, ils sont délicieux en effet.
Malgré tout, rien ne vaut le pain iranien de base, cuit contre la pierre chaude et que l'on casse en morceaux dans le bouillon du dizi par exemple, à moins qu'il ne remplace tout bonnement l'assiette sur laquelle on dépose les brochettes encore grésillantes.
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