30 juin 2021

Craig Johnson, Dry bones

 

J’avais un peu lâché prise sur les romans de Craig Johnson et me réjouissais de ces retrouvailles. Peut-être un peu décevantes.

 J’ai certes retrouvé avec plaisir le shérif Longmire, et tous ses acolytes. Mais les histoires de dinosaures et de fouilles archéologiques au milieu du Wyoming… bien qu’avérées, ne m’ont pas passionnée et à vrai dire, je me suis un peu perdue, non pas dans les Black Hills, mais parmi les personnages un peu trop nombreux sans que leur présence soit absolument indispensable (si ce n’est peut-être pour préparer le prochain roman) ; je me suis même lassée des clins d’œil trop appuyés, de l’humour un peu forcée. Bref, un capital de sympathie légèrement écorné, mais qui ne m’empêchera pas de lire le prochain roman du grand auteur du Wyoming.

1 commentaire:

jean-jacques pellegrin a dit…

Pour moi, aficionado inconditionnel de James Lee Burke que je tiens pour le meilleur auteur de polars des Etats-Unis, voire pour un des meilleurs écrivains américains, je confesse une certaine paresse à lire d'autres auteurs de romans policiers de ce pays, prodigue entre tous du genre. Je ne parlerai donc pas de Graig Johnson, n'étant jamais encore entré dans son oeuvre. Par contre, j'apprécie des écrivains comme Lehane, Pelecanos, Connelly.

Cordialement.

Jean-Jacques Pellegrin