 C'est avec lui que je partage mes noisettes...
C'est avec lui que je partage mes noisettes...Voilà sans doute pourquoi il est aussi dodu !
Des livres en pagaille, voici ce que vous trouverez sur "LA ROUTE DES LIVRES". Mais au fil des pages, vous y trouverez bien d'autres choses : des poèmes ou des citations... des photos à l'occasion... des critiques de films peut-être... des récits de voyage... Qui sait où vous mènera cette route ?
 La photo a été publiée par Pierre Paraf dans un ouvrage paru au début des années 70 : L'homme de toutes les couleurs, sous titré Le racisme : pourquoi ?
La photo a été publiée par Pierre Paraf dans un ouvrage paru au début des années 70 : L'homme de toutes les couleurs, sous titré Le racisme : pourquoi ?





 Je n'ai pas essayé toutes les recettes mais les photos sont toutes superbes !
Je n'ai pas essayé toutes les recettes mais les photos sont toutes superbes ! J'aime les citrons.
J'aime les citrons.

 Elles sont toujours là, à portée de mains.
Elles sont toujours là, à portée de mains. Parfois la pile la plus haute s'écroule et l'ordre de mes priorités se trouve soudain changé.
Parfois la pile la plus haute s'écroule et l'ordre de mes priorités se trouve soudain changé. Et bien, la voici :  il s'agit d'Albert Londres, le grand journaliste.
Et bien, la voici :  il s'agit d'Albert Londres, le grand journaliste. "C'est un port, l'un des plus beaux du  bord des eaux. Il est illustre sous tous les parallèles. A tout instant du jour et de la nuit, des bateaux labourent  pour lui au plus loin des mers. Il est l'un des grands seigneurs du large. phare français, il balaye de sa lumière les cinq parties de la terre. Il s'appelle le port de Marseille. "
"C'est un port, l'un des plus beaux du  bord des eaux. Il est illustre sous tous les parallèles. A tout instant du jour et de la nuit, des bateaux labourent  pour lui au plus loin des mers. Il est l'un des grands seigneurs du large. phare français, il balaye de sa lumière les cinq parties de la terre. Il s'appelle le port de Marseille. " "C'est moi, Marseille... Ecoutez, c'est moi, le port de Marseille, qui vous parle. je
"C'est moi, Marseille... Ecoutez, c'est moi, le port de Marseille, qui vous parle. je J'étais sur le chemin qui domine le bassin de la Joliette. Le port s'ouvrait devant moi. Quatre bateaux, sortis par la passe opposée, prenaient le large, lentement, vers le Sud. L'un était couleur terre de Sienne, ses deux cheminées semblaient lui
J'étais sur le chemin qui domine le bassin de la Joliette. Le port s'ouvrait devant moi. Quatre bateaux, sortis par la passe opposée, prenaient le large, lentement, vers le Sud. L'un était couleur terre de Sienne, ses deux cheminées semblaient lui Pour l'enfant "amoureux de cartes et d'estampes," pour l'étudiant qui s'est laissé emporter par Le Bateau ivre de Rimbaud et pour tous ceux que le voyage enivre, les livres d'Albert Londres sont un inépuisable trésor - à condition bien sûr de relativiser son enthousiasme colonialiste et mondialiste en le situant dans son époque, les intrépides et folles années 20 !
Pour l'enfant "amoureux de cartes et d'estampes," pour l'étudiant qui s'est laissé emporter par Le Bateau ivre de Rimbaud et pour tous ceux que le voyage enivre, les livres d'Albert Londres sont un inépuisable trésor - à condition bien sûr de relativiser son enthousiasme colonialiste et mondialiste en le situant dans son époque, les intrépides et folles années 20 ! Pour le journaliste entré dans le métier par gôut de la découverte et de l'inattendu, par gôut aussi de l'écriture et  qui s'exaspère des conventions stylistiques que lui impose sa rédaction les livres d'Albert Londres sont une consolation autant qu'un modèle.
Pour le journaliste entré dans le métier par gôut de la découverte et de l'inattendu, par gôut aussi de l'écriture et  qui s'exaspère des conventions stylistiques que lui impose sa rédaction les livres d'Albert Londres sont une consolation autant qu'un modèle. Tant mieux ! Parce que les paysages en noir et blanc sur pellicule couleur, ça va bien un temps; ça fait vaguement zen, c'est stylisé...
Tant mieux ! Parce que les paysages en noir et blanc sur pellicule couleur, ça va bien un temps; ça fait vaguement zen, c'est stylisé...

 Ce mois-ci, pas de retard ! Parce que je veux te parler d'un personnage qui me fascine depuis longtemps : Giovanni Pico della Mirandola !
Ce mois-ci, pas de retard ! Parce que je veux te parler d'un personnage qui me fascine depuis longtemps : Giovanni Pico della Mirandola ! - Ardent ? Si tu veux, mais c'est surtout le biais que tu as trouvé pour me parler de son ardeur au travail, non ?
- Ardent ? Si tu veux, mais c'est surtout le biais que tu as trouvé pour me parler de son ardeur au travail, non ?|  |  | |||
|  | Très vénérables Pères, j'ai lu dans les écrits des Arabes que le Sarrasin Abdallah, comme on lui demandait quel spectacle lui paraissait le plus digne d'admiration sur cette sorte de scène qu'est le monde, répondit qu'il n'y avait à ses yeux rien de plus admirable que l'homme. Pareille opinion est en plein accord avec l'exclamation de Mercure: «O Asclepius, c'est une grande merveille que l'être humain». | 
 http://www.jssgallery.org/Paintings/10089.htm#18Allenby
http://www.jssgallery.org/Paintings/10089.htm#18Allenby

 Il faisait très froid dimanche matin : - 8° (Celsius)
Il faisait très froid dimanche matin : - 8° (Celsius) Et la chambre était ravissante.
Et la chambre était ravissante.
 Roland et Sabrina Michaud, dont j'ai déjà parlé à deux reprises dans des précédents billets, étaient à Clermont pour présenter quelques photos extraites de leur dernier ouvrage.
Roland et Sabrina Michaud, dont j'ai déjà parlé à deux reprises dans des précédents billets, étaient à Clermont pour présenter quelques photos extraites de leur dernier ouvrage.
 ou bien
ou bien Entre deux entrepôts  se glissent les premières galeries, qui n'ont pas toutes pignon sur rue : il faut parfois grimper un étage, pénétrer dans une arrière cour. Mais c'est l'occasion de découvrir des artistes dont les oeuvres sont encore abordables. Avec les galeries, viennent les cafés, les restaurants, qui côtoient, pour un moment encore, des boutiques dont la rentabilité paraît plus que douteuse... aujourd'hui. Parce que demain, cette même boutique sera peut-être le dernier lieu à la mode !
Entre deux entrepôts  se glissent les premières galeries, qui n'ont pas toutes pignon sur rue : il faut parfois grimper un étage, pénétrer dans une arrière cour. Mais c'est l'occasion de découvrir des artistes dont les oeuvres sont encore abordables. Avec les galeries, viennent les cafés, les restaurants, qui côtoient, pour un moment encore, des boutiques dont la rentabilité paraît plus que douteuse... aujourd'hui. Parce que demain, cette même boutique sera peut-être le dernier lieu à la mode ! J' aime bien ce mélange improbable, cette atmosphère de quartier où chacun semble connaître tout le monde. Et puis je suis tombée sur cette affiche ...
J' aime bien ce mélange improbable, cette atmosphère de quartier où chacun semble connaître tout le monde. Et puis je suis tombée sur cette affiche ... Et je m'interroge : qu'est ce qui stimule le plus  l'imagination ? la pêche ? le whisky ? ou le voyage ?
Et je m'interroge : qu'est ce qui stimule le plus  l'imagination ? la pêche ? le whisky ? ou le voyage ?

 Plus insolites, les parkings où les voitures sont empilées les unes au-dessus des autres, comme de vulgaires boites de chaussure. Comment font les propriétaires du dernier étage pour récupérer leur véhicule ? Un mystère que je n'ai pas (encore ) élucidé !
Plus insolites, les parkings où les voitures sont empilées les unes au-dessus des autres, comme de vulgaires boites de chaussure. Comment font les propriétaires du dernier étage pour récupérer leur véhicule ? Un mystère que je n'ai pas (encore ) élucidé !

 Plus  insolites, les sacs poubelles qui jonchent les trottoirs à toute heure du jour et de la nuit, y compris dans les quartiers "chics", ici à Chelsea où les galeries d'art dominent la rue.
Plus  insolites, les sacs poubelles qui jonchent les trottoirs à toute heure du jour et de la nuit, y compris dans les quartiers "chics", ici à Chelsea où les galeries d'art dominent la rue.
 De l'autre côté de la rue une foule bien plus nombreuse que chez Tiffany se précipite vers une boutique dont les vitrines noires ne révèlent rien des trésors proposés. A l'entrée un éphèbe, torse nu !  Comme je le découvrirai bientôt, ce bel Adonis est l' emblème publicitaire  de la marque.  A l'intérieur, tout est noir; la seule source lumineuse semble provenir de l'escalier et d'une fresque très "social-réaliste" où de virils jeunes gens exhibent leur musculature.
De l'autre côté de la rue une foule bien plus nombreuse que chez Tiffany se précipite vers une boutique dont les vitrines noires ne révèlent rien des trésors proposés. A l'entrée un éphèbe, torse nu !  Comme je le découvrirai bientôt, ce bel Adonis est l' emblème publicitaire  de la marque.  A l'intérieur, tout est noir; la seule source lumineuse semble provenir de l'escalier et d'une fresque très "social-réaliste" où de virils jeunes gens exhibent leur musculature.