Nous avions au moins trois bonnes raisons de nous arrêter à Lyon.
Un opéra, Laura Miller, de Giuseppe Verdi mis en scène par David Alden, une mise en scène aussi esthétique qu'efficace : en gris le peuple d'où est issu l'héroïne, en rouge le pouvoir, écrasant et arbitraire.
Un très bel opéra, vraiment !
Une exposition sur le regard que l'Europe moderne pose sur les arts de l'Islam, Génie de l'Orient, et une autre sur l'art contemporain indien, Indian Highway.
Intéressant et instructif !
Vannés, épuisés, il nous restait encore à faire un tour au Parc de la Tête d'Or. J'espérais y trouver les roses en pleine floraison, mais les unes étaient déjà fanées, les autres encore en boutons ! Aléas d'un printemps bizarroïde.
Déception!
Alors je me suis consolée avec les serres.
08 mai 2011
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