C'est la deuxième exposition à la fondation Cartier, mais après les immenses photos de Daido Moriyama, les photos de Fernell Franco, plus modestes en taille souffrent un peu de la comparaison. C'est dommage car son travail est également intéressant, entre photographie urbaine et photographie sociale. Franco Fernell reste très proche du photo-reportage, d'autant que les clichés exposés à la fondation concernent tous la ville où il a grandi, Cali, la grande rivale de Medellin !
Les seules photos en grand format, sont les plus étranges : de gros paquets emballés de toiles et de cordes et dont, bien entendu, on ne connaît pas le contenu ce qui laisse le champ libre à l'imagination.
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