Comme on peut être fasciné par le bleu électrique de celui-là.
A moins que ce ne soit la vibration, le mouvement, l'exaltation, l'ardeur fiévreuse ou torturée qui nous retiennent.
Oui, il y a mille raisons d'aimer la peinture de Garouste.
Sans même essayer de comprendre les références savantes aux contes, aux mythes, aux textes sacrés qui le hantent.
Mais si j'ai choisi ce dernier tableau, c'est pour rendre hommage à mon ami Michel qui ne manquait pas de me rappeler qu'entre le singe et l'homme il n'y a pas grand écart.
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