Pas dans mon jardin, ni dans les bois juste à côté de chez moi. Juste une image sur le Net. Mais quelle image !
 
Des livres en pagaille, voici ce que vous trouverez sur "LA ROUTE DES LIVRES". Mais au fil des pages, vous y trouverez bien d'autres choses : des poèmes ou des citations... des photos à l'occasion... des critiques de films peut-être... des récits de voyage... Qui sait où vous mènera cette route ?
 As the crow flies
As the crow flies  Premier film vu dans la sélection de cette année. Un bon départ car le film est plutôt réussi bien que le sujet ait déjà été souvent traité dans le cinéma d'Amérique latine : dictatures obligent.
Premier film vu dans la sélection de cette année. Un bon départ car le film est plutôt réussi bien que le sujet ait déjà été souvent traité dans le cinéma d'Amérique latine : dictatures obligent.
 Dans Enfants de
poussière, le shérif Longmire est revenu dans son conté d’Absaroka, parce que sa
fille,  gravement blessée dans le
précédent roman est en convalescence chez lui pour quelques semaines. Autant dire qu’au
quatrième roman de Craig Johnson, le lecteur a acquis un sentiment de
familiarité avec le shérif, ses adjoints, ses amis, et les habitants de Durant,
qui constitue un des plaisirs de la lecture.
Dans Enfants de
poussière, le shérif Longmire est revenu dans son conté d’Absaroka, parce que sa
fille,  gravement blessée dans le
précédent roman est en convalescence chez lui pour quelques semaines. Autant dire qu’au
quatrième roman de Craig Johnson, le lecteur a acquis un sentiment de
familiarité avec le shérif, ses adjoints, ses amis, et les habitants de Durant,
qui constitue un des plaisirs de la lecture.  De retour de Pennsylvanie (où sa fille avait été sauvagement
agreessée et bien près de mourir, cf.L’Indien
blanc) Walt Longmire, le Shérif d’Absaroka county,  à qui on a confié la garde de Mary Barsad,
accusée d’avoir tué son mari de 6 balles dans la tête, enquête dans le conté
voisin, c’est à dire en dehors de sa juridiction. Il enquête donc sous couvert,
une couverture qu’à vrai dire, il ne maintient pas longtemps.  Mais il n’est pas le seul « sous
couverture », puisque la victime, Wade Barsad est un « témoin
protégé », surveillé de près par le FBI parce qu’il détient des
informations importantes.  Qui de Walt
Longmire ou du FBI résoudra le plus vite l’enquête ? Cela ne fait pas
vraiment question. En dehors de l’aspect strictement policier, il est beaucoup
question de chevaux dans ce roman, puisque le point de départ c’est l’incendie
criminel d’une écurie (5 chevaux ont péri dans l’incendie), et la disparition
du plus beau des chevaux, le Dark Horse du titre. Un cheval hors du commun qui
à lui seul fait le charme et l’intérêt des derniers chapitres du roman.
De retour de Pennsylvanie (où sa fille avait été sauvagement
agreessée et bien près de mourir, cf.L’Indien
blanc) Walt Longmire, le Shérif d’Absaroka county,  à qui on a confié la garde de Mary Barsad,
accusée d’avoir tué son mari de 6 balles dans la tête, enquête dans le conté
voisin, c’est à dire en dehors de sa juridiction. Il enquête donc sous couvert,
une couverture qu’à vrai dire, il ne maintient pas longtemps.  Mais il n’est pas le seul « sous
couverture », puisque la victime, Wade Barsad est un « témoin
protégé », surveillé de près par le FBI parce qu’il détient des
informations importantes.  Qui de Walt
Longmire ou du FBI résoudra le plus vite l’enquête ? Cela ne fait pas
vraiment question. En dehors de l’aspect strictement policier, il est beaucoup
question de chevaux dans ce roman, puisque le point de départ c’est l’incendie
criminel d’une écurie (5 chevaux ont péri dans l’incendie), et la disparition
du plus beau des chevaux, le Dark Horse du titre. Un cheval hors du commun qui
à lui seul fait le charme et l’intérêt des derniers chapitres du roman. On
reprend les mêmes et on recommence ?  Bien sûr puisque retrouver des personnages que
l’on a bien aimés dans un précédent roman est toujours agréable. Walt Longmire,
le shérif est toujours à son poste, de même que Vic,  Ruby la secrétaire ; Henri  Standing Bear, l’Indien est en peu en retrait
et Salzarbitoria, l’assistant shérif basque, sur le point de démissionner après
ses dernières mésaventures, revient sur le devant de la scène. Le roman peut
donc commencer et Longmire une fois de plus va prendre des coups.
On
reprend les mêmes et on recommence ?  Bien sûr puisque retrouver des personnages que
l’on a bien aimés dans un précédent roman est toujours agréable. Walt Longmire,
le shérif est toujours à son poste, de même que Vic,  Ruby la secrétaire ; Henri  Standing Bear, l’Indien est en peu en retrait
et Salzarbitoria, l’assistant shérif basque, sur le point de démissionner après
ses dernières mésaventures, revient sur le devant de la scène. Le roman peut
donc commencer et Longmire une fois de plus va prendre des coups.  Little Bird est le premier roman de la série ; autant
commencer par lui puisque c’est le roman qui permet de se familiariser avec le
décor, les personnages, le ton, la façon de faire de Craig Johnson.
Little Bird est le premier roman de la série ; autant
commencer par lui puisque c’est le roman qui permet de se familiariser avec le
décor, les personnages, le ton, la façon de faire de Craig Johnson.  Le Wyoming, l’hiver, la neige. Une vieille dame qui meurt
dans une maison de retraite. Rien que de très banal en apparence.  Mais l’enquête, menée par le shérif Longmire
et ses assistants met en branle une multitude de personnages, et surtout des
histoires vieilles de 50 ans.
Le Wyoming, l’hiver, la neige. Une vieille dame qui meurt
dans une maison de retraite. Rien que de très banal en apparence.  Mais l’enquête, menée par le shérif Longmire
et ses assistants met en branle une multitude de personnages, et surtout des
histoires vieilles de 50 ans. 
 Le sujet, la désindustrialisation, la fermeture des usines, le chômage, les dettes est grave. Le traiter sur le mode farcesque, pourquoi pas ? C'est  s'assurer de remplir les salles.
Le sujet, la désindustrialisation, la fermeture des usines, le chômage, les dettes est grave. Le traiter sur le mode farcesque, pourquoi pas ? C'est  s'assurer de remplir les salles.