26 mars 2016

Ojoloco 2016 : Montanha

J'aurais peut-être plus apprécié le film si un présentateur érudit n'avait passé 15 minutes à le gâcher en livrant, AVANT la projection, son analyse à un auditoire captif. Comment par la suite regarder le film avec un oeil neuf ?  Je revendique le droit de ne pas lire les critiques AVANT le film, d'apprécier un film, comme un livre d'ailleurs, par moi-même, quitte à ne pas voir toutes les références aux 400 coups de Truffaut, que ce monsieur a vu dans le film de Joao Salaviza.


Du coup je n'ai vu qu'un film de plus sur le difficile passage de l'enfance à l'âge adulte, passage précipité ici par la mort proche d'un grand-père très aimé. L'éveil de la sexualité, la tentation de la délinquance, le désarroi devant l'irresponsabilité des adultes, le besoin de tendresse malgré tout. Tout cela était fort bien vu  et filmé, mais avec un petit air de "déjà vu".
Dommage

Aucun commentaire: