Le film est court (1h05) et c'est très bien comme cela parce que je n'ai pas réussi à m'intéresser à cette adolescente contrainte de passer ses vacances chez sa grand-mère en compagnie de sa tante alors que sa mère et son père se disputent sa garde. L'ennui de l'adolescence, la tristesse des familles désunies, la fragilité des amitiés, l'incertitude de l'avenir, oui il y a tout cela dans le film, mais vaguement suggéré, à peine esquissé.... En réalisant Ojos negros, Marta Lallana et Ivet Castelo ont choisi de rester dans la demi-teinte, dans le sous-entendu en comptant sans doute sur la lucidité et l'empathie du spectateur. Une occasion perdue en ce qui me concerne.
29 mai 2021
Ojoloco : Ojos negros
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