04 mars 2020

L'appel de la forêt


Oui, bien sûr, il y a Harrison Ford. Et Omar Sy. Mais il y a surtout Buck, le chien dont on tombe immédiatement amoureux. Un bon gros toutou prêt à toutes les bêtises mais tellement plus malin, sensé, généreux, intelligent et finalement attachant que les humains.

 

Après on apprend que les animaux, Buck et les autres chiens de traîneaux, mais aussi les loups ne sont que des images de synthèse, mais c'est trop tard. On s'est déjà extasié sur leurs extraordinaires talents d'acteurs! Et en définitive, c'est cela seul qui compte, la capacité du réalisateur à créer l'illusion et à nous faire croire à l'histoire de Buck, ce chien parfaitement (?) domestique  qui au contact de la nature sauvage, répond peu à peu à l'appel de la forêt. 
L'histoire telle que l'avait racontée Jack London ? Sans doute, ou à peu près. Car il y a si longtemps que j'ai lu le livre, je n'en garde de toute façon qu'un souvenir un peu confus. 
Et même si vous n'aimez ni les chiens, ni les loups, ni les hommes, il reste dans le film de Chris Sanders, les époustouflants paysages du grand Nord, avec plus d'aurores boréales que vous n'en verrez jamais. Quoi ? Des images de synthèses aussi ? Sans doute, mais c'est beau quand même. 

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