Les photos présentées sous la dénomination "Etat d'esprit africain Villes hybrides", plus proches de la photo documentaire que de la photo d'art, permettaient à la fois de se projeter dans un voyage imaginaire, loin de notre pays un peu trop étriqué en ce moment, et de prendre conscience du développement urbain dans certains pays africains, développement dont nous avons du mal à mesurer les effets tant il est rapide et souvent anarchique.
On peut admettre que l'anarchie urbanistique soit parfois préférable à un urbanisme strictement règlementé et contrôlé, mais quand il atteint la fulgurance de capitales comme Lagos ou Kinshasa, on s'interroge forcément sur les capacités de la population à s'adapter à ce rythme effréné.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire