Oui il y a bien un peu de cela dans le livre que Chantal Thomas consacre à ses souvenirs de New York. Souvenirs beatniks plutôt que hippies. Plus littéraires que musicaux ou picturaux. Oui, il y a bien un peu de ce New York à la fois sordide, excentrique, sensuel et libertaire que j'ai brièvement connu dans les années 70.
Mais il est toujours difficile d'adhérer pleinement aux souvenirs des autres - à moins de les avoir partagés, bien sûr - et du coup, les rencontres évoquées par Chantal Thomas relèvent au mieux du "name dropping", au pire du fourre-tout people.
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