La bâtisse est austère, mais la porte d'entrée magnifique et le parc alentour très agréable.
Mais c'est à l'intérieur que tout se passe ...
Car dans le grand salon ...
... on joue aux cartes ou au tric-trac, on brode, on converse, on prend le thé : bel exemple de la convivialité du XIXe siècle et de la générosité de Jean Margonne, propriétaire des lieux.
Mais à l'étage au-dessus, on travaille : on écrit, on corrige les brouillons, ou les épreuves envoyées par l'éditeur qui n'a pas fait correctement son travail et met l'auteur en rage.... Car Balzac est un auteur exigeant qui s'épuise à la tâche.
Même quand il vient se mettre au vert et prendre quelque jours de repos chez ses amis de Saché, il ne lâche rien et continue d'écrire. Inlassablement.
Mais La Comédie humaine valait bien cette peine, non ? Et je vais de ce pas relire ... La Rabouilleuse. Pourquoi La Rabouilleuse ? Parce qu'une partie de l'histoire au moins se passe à Issoudun !
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