Un passage au musée, ça
ne fait jamais de mal : masque, passe sanitaire, gardiens eux aussi-masqués et ... quasiment personne ! Un musée entier pour moi toute seule!
Et même si j'ai arpenté bien des fois le musée de Grenoble, il n'est plus tout à fait le
même. L'accrochage a changé, ici et là. Il y a les tableaux que je
retrouve avec plaisir (mes chouchous), ceux que je découvre parce qu'ils
n'avaient pas été exposés depuis longtemps (le Monory), ceux que je n'avais jamais vus ou jamais remarqués et qui soudain me sautent aux yeux
Hans Hofman, Intérieur, 1949
Carlos Cruz-Dias, Physichromie 764, 1974
Il y a ceux que je cherche en vain (le Soutine ?) parce qu'il a été déplacé, prêté, ou momentanément retiré ... Il y a de nouveaux cartels, plutôt bien faits.
Et puis il y a cet espace, les volumes, les ouvertures vers la lumière. Autant de signes d'une architecture réussie dans laquelle on se sent bien.
Un passage au musée : remède contre la mélancolie ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire