10 avril 2022

Ojoloco 2022 : Yo y las bestias

 

  Quelques images surprenantes, surtout au début, quelques idées loufoques, mais l'histoire de ce laborantin vénézuélien qui se sépare de son groupe sur un coup de tête et essaye ensuite d'enregistrer un  disque,  tout seul ne m'a pas beaucoup intéressé. Il y a bien sûr un petit côté suréaliste quand on voit apparaître deux musiciennes masquées et voilées de jaune  de la tête aux pieds,  qui semblent faciliter l'inspiration du musicien (ses muses ?), mais le rythme du film est beaucoup trop lent, trop mou, les séquences chantées n'en finissent pas. Et l'on finit par se dire que Nico Manzano n'avait pas suffisamment de matière pour un long métrage.

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